Oui, oui, la maison est toujours là et les constructeurs aussi.
Mais après 6 mois à fond, cinq à sept jours par semaine, la trêve des fêtes était nécessaire. D'autant qu'en plaçant nos ouvertures, fin décembre, nous nous sommes aperçus que notre baie (l'ouverture principale de la pièce de vie) ne passait pas en hauteur. Le tassement avait été trop grand.
De plus, la maison présentait un affaissement d'un côté (vers l'avant), qui nous semblait essentiel de stopper (mais comment ?)
Nous avons contacté des professionnels de la construction paille qui nous ont suggéré de mettre des poutres pour soutenir l'écart entre lisse haute et lisse basse.
Du coup, la maison n'est plus exclusivement "paille porteuse" : ces poutres sont une forme d'ossature.
Ces professionnels nous ont affirmé que "des maisons 100 % paille porteuse, sans aucune ossature, sauf pour des petites maisons, cela ne se voit pas..."
(Nous prendrons le temps, à la fin de la construction, de formuler notre avis sur cette technique).
Petit tour à la scierie de Méobecq pour commander des poutres de chêne que nous sommes en train d'installer.
Comment soulever une toiture de 15 tonnes pour insérer les poutres ? Avec un cric de relevage pour poids lourds, et de nombreux étais bien sûr. Quelle aventure !
Deux autres postes avancent en parallèle :
- le chemin d'accès est presque terminé (décaissement et empierrement sur 50 mètres de long)
- l'électricité de la maison : nous posons les gaines avant d'enduire
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